post-scriptum

Si vous êtes un organisme qui distribue la justice, envoyez le document à mon adresse personnelle, Fergim Demiri, 25e rue, numéro 29, 7000 Bitola, Macédoine du Nord. Mais cette fois les frais de déplacement seront pris en charge par l'état où je suis allé pour le logement, car l'erreur n'est pas de moi. J'ai été jugé dans mon pays avec 2 mois de prison et un an de probation, et le tribunal corrompu a pris mon passeport par ordonnance. Corrigez vos erreurs, car ce ne sont pas les miennes. Je suis à Madhengjim car mon deuxième fils Rinim Demiri est décédé à l'âge de 33 ans d'un cancer du poumon. Je pense que j'ai fait tout ce qui était exigé de moi en tant que demandeur d'asile et de vous en tant qu'organe de l'État fédéral belge qui a définitivement décidé, n'a pas répondu à mon insistance, que Fedasil en tant qu'agence de migration discrimine et maltraite ceux qui sont en danger et qu'ils demandent à l'état du siège de l'UE de résoudre votre statut, ils les laissent sans aide médicale, sans thérapie, sans conditions élémentaires, et les forcent à quitter les abris qui ressemblent à des prisons. Je ne suis pas venu en Belgique, parce que la Suède m'a rejeté pour la quatrième fois, parce que je pouvais retourner librement dans mon pays, mais j'y ai pensé, là est le centre de l'Union européenne et je ne serai pas maltraité. Eh bien, vous avez été dur avec moi, et j'ai dû partir seul, bon gré mal gré, parcourir 2 000 kilomètres en bus jusqu'au Kosovo, puis depuis le Kosovo pour entrer en Macédoine avec une carte d'identité, afin qu'ils ne m'embêtent pas avec passeports et ne pas être arrêté à la frontière. Je t'ai laissé dans la dernière et grande interview qui a duré 5 heures plus de 200 documents originaux comme preuve et preuve que je demande l'asile en Europe, mais tu t'es montré nihiliste, un fasciste modéré et m'a forcé à retourner dans mon pays plein de dangers. Fergim Demiri, journaliste de Macédoine du Nord.